Fort de sa troisième édition, le festival Les Trois Beaux Days revient du 20 au 22 juillet !
Pour cette troisième édition, Les Trois Baudets retournent se nicher aux Arènes de Montmartre à quelques pas du Sacré Coeur, le temps de trois soirées concerts en plein air.
Le 20 juillet, découvrez PIERO, entre le passé et le futur, le réel et l’irréel, la mélancolie et l’humour. Entre Christophe, Francis & the lights ou Rufus Wainwright, il prend soin des mots et sait rendre les machines sensibles. De compositions en compositions, comme on pose des pierres il avance, indépendant mais poreux, sur cette ligne fragile qu’on appelle aussi la justesse.
AUGUSTA, elle, est armée d’une simple guitare acoustique et de sa voix, Augusta produit un son folk doux et minimaliste auquel il est difficile de résister. Quelque part entre Laura Marling et Joni Mitchell, cette talentueuse musicienne vous embarquera dans un univers réconfortant et intimiste.
Le 21 juillet, MAISSIAT, auteure, compositrice et interprète, s’est imposée comme une figure de la scène française et c’est sur scène que ses nouvelles chansons prennent toute leur ampleur. Elle a imaginé une forme la plus épurée possible : un piano et, face à lui, des claviers lui répondent. Pour ce nouveau spectacle, Maissiat propose au public un rapport d’écoute inédit : une plongée, sans interruption, au cœur de son album, un voyage ponctué de courts récits et de voix familières, nous offrant un éclairage unique sur ses chansons et leurs origines.
La musique d’Illa est une affaire de métissage. Entre le noir et le blanc des touches du piano sur lequel elle compose tous ses morceaux, l’auteure-compositrice franco-ivoirienne laisse sa voix se promener entre les extrêmes et ne s’interdit rien. Illa nous touche tant par la douceur de sa musicalité que par la violence des thèmes qu’elle explore. Il ne nous reste plus qu’à tendre l’oreille pour écouter cette voix pure et cathartique qui ne laisse personne indifférent, et avec laquelle elle dessine le contour de ses émotions.
Le 22 juillet joueront LONNY et NINA VERSYP. Les chansons de la première naissent d’une rupture qui a figé Lonny quelque part en bordure du monde. De cette expérience à la fois bouleversante et fondatrice, elle a conçu un folk empathique mais intransigeant, d’une langue française entoilée de paysages normands ou québécois, et de métaphores de la prostration, du deuil, de la reconquête d’une féminité. Quant à la musique de NINA VERSYP, une witch folk onirique et vénéneuse, s’échappe de l’ordinaire. Elle intrigue par ses élans fantasmagoriques et ce timbre clair qui impose sa présence physique.
[Source : communiqué de presse]
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